Ce n'est pas moi qui le dit...


La femme moustique - Sheila Concari

Exposition collective dans les tours et les remparts d'Aigues-Mortes.
tout le programme est dans le titre !
Et ils s'en donnent à coeur joie les plasticiens Fabrice Cahoreau, Sheila Concari, Thierry Despont et Henri Sagna !


Projection au sol - Sheila Concari

Sheila Concari

Henri Sagna
Henri Sagna

Fabrice Cahorerau
Chauve souris.
Rien à voir avec l'expo, juste pour rire !









Ce n'est pas moi qui le dit, c'est Jean Jaurés et c'est Benoit Souverbie qui le dessine.














__________________________________________
"Videz ce sac de silence si lourd
Plonger ses mains d'angoisse
dans la quincaillerie des mots
abandonnés au rats
Parler avec des pleins et des déliés
Parler avec la voix rocailleuse
d'un torrent de montagne
se frayant un chemin
jusqu'à la mer."


(André M, mon père)










_____________________


C'est ma copine Claire, je fais la pub, c'est normal !
Son second livre sort aux Editions Déméter... Faites passer... Déméter, les Editions... 


"Sainte Erecta", c'est pas elle qui a choisit le titre, une jeune femme si sage, pensez-vous !
Quatrième de couv' plus bas. Cliquez sur l'image pour lire ! et ensuite allez donc le commander chez votre libraire, sans vous commandez bien sûr !
Pas très sympa pour le libraire de votre quartier mais vous pouvez aussi rester derrière votre clavier et le commander sur plein de sites, au hasard celui-ci
Il vous suffit de taper le titre pour trouver les autres !
Bonne lecture !


__________________________________________

Laissez-vous faire et embarquez à bord de ce cargo. Ne revenez pas trop vite...

(...) "tout de suite nommer ce que l'on prend au monde"(...)
(...) "le temps est rond, lisse,comme l'âme." (...) - Frédéric Michel


Ce montage a reçu de nombreux prix internationaux et a représenté la France lors du congrès de la Fédération Internationale d'Art Photographique à Prato en Italie en 2001





Hôtel Belvédère du Rayon-Vert, Cerbère, Pyrénées-OrientalesPropriété d'une personne privée.Historique Hôtel construit de 1928 à 1932 par Léon Baille, architecte perpignanais, pour le compte de Jean de Léon, gérant du buffet de la gare de Cerbère. L'hôtel était destiné à une importante clientèle de «sleepings», obligée de descendre à Cerbère pour des formalités de dédouanement et l'inévitable changement de trains entre la France et l'Espagne. Construit sur une parcelle triangulaire exiguë, l'édifice de quatre niveaux est entièrement réalisé en béton armé. La «poupe» du bâtiment, les coursières aux extrémités arrondies et la sortie d'un escalier sur le toit-terrasse, imitant une cheminée de navire, sont autant de références à l'architecture navale, inspiration qui marque également l'intérieur de l'édifice. Outre les chambres, l'hôtel comporte un bar, un restaurant, une salle de cinéma et un court de tennis sur le toit-terrasse. L'hôtel est désaffecté depuis 1983.Protection Façades, terrasse supérieure et salle de cinéma (cad. AC 83, 84) : inscription par arrêté du 9 avril 1987. Mérimée : 00103988 Cliché Jean-Michel Périn, SRI.http://www.culture.gouv.fr/





_______________________________________





Que nous soyons dignes de l'espérance, désespérément
Que nous puissions avoir le courage d'être seuls, et la vaillance de nous risquer à nous unir, car elle ne sert à rien la dent hors de la bouche, ni le doigt hors de la main.
Que nous puissions être désobéissants, chaque fois que nous recevons des ordres qui rabaissent notre conscience ou qui violent notre bon sens.
Que nous puissions mériter d'être traités de fous, comme ont été traitées de folles les Mères de la Place de Mai, parce que nous aurons commis la folie de nous refuser à oublier, au temps où l'amnésie était obligatoire.

Que nous puissions être tellement obstinés à continuer de croire, contre toute évidence, que la condition humaine vaut la peine, car si nous avons été mal faits nous ne sommes pas terminés.

Que nous puissions être capables de continuer à cheminer par les chemins du vent, malgré les échecs, les trahisons et les défaites, car l'Histoire continue, bien au-delà de nous, et quand elle nous dit "Adieu", elle est en train de nous dire : "Au revoir".
Que nous puissions garder vivante la certitude qu'il est possible d'être compatriote et contemporain de tout être humain dont la vie est animée par la volonté de justice et la volonté de beauté, quelque soit le lieu où il vit, quelque soit l'époque où il a vécu, car il n'y a de frontières ni sur les cartes de l'âme, ni sur celles du temps.

les vœux 2011 de Eduardo Galeano






_____________________________________________

Rien de nouveau...
"Moins ils ont de talent, plus ils ont d'orgueil, de vanité, d'arrogance. Tous ces fous trouvent cependant d'autres fous qui les applaudissent". Erasme, L'éloge de la folie, 1509.

Aucun commentaire: