samedi 20 août 2011

Ces chênes qu'on abat...

Route de Gardanne
Lui c'était vraiment un chêne. 
Plusieurs fois je suis passée devant en me disant : un jour il faut que je m'arrête pour faire une photo
Ce soir il n'y avait plus que ça
Il ne faut pas remettre à demain ce que l'on peut faire à une seule.
Je regrette. Un vrai regret inutile et vain. Je n'aurai pas la photo de ce chêne splendide. Juste imaginer les racines et pleurer.
et puis dans la sciure fraîche j'ai ramassé un petit morceau, un souvenir pour le petit musée. Mémoire.

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