vendredi 21 octobre 2011

L'ardoise à Histoire (le jeu)


Le jeu de « l’ardoise à histoires »
C’est un dérivé du jeu « marabout – bout d’ficelle – selle de cheval….. » où il s’agit à trouver une suite à un mot ou un groupe de mot en se servant de la phonétique des dernières syllabes du mot précédent « marabout » « bout de ficelle » « selle de cheval »…

Matériel :
une ardoise à histoire,
4 petits galets de bord de mer (vert, rouge, blanc, bleu)

On peut jouer à 2, 3 ou 4

Début du jeu.
Le plus grand des Pélébémés pose l’ardoise et rappelle que pour l’année 2011 il existe 27 « ardoises à histoires ». Que toutes les ardoises rassemblées forment un escargot et que l’ardoise posée devant eux n’est qu’une partie d’un tout.

Puis on choisit au hasard un mot d’au moins deux syllabes dans un livre, un dictionnaire, un journal. C’est le premier mot à utiliser.

Exemple : le mot trouvé est ; « gourmand » le premier dit « mandibule » le suivant « bulle de savon » le suivant  « savon de Marseille »…

Celui qui a dit « savon de Marseille » peut alors dire « ardoise à histoires !» pour stopper le jeu et il va tenter de convaincre ses partenaires que Marseille est au bord de la mer et donc qu’il a le droit de poser le galet bleu (eau). C’est à lui de convaincre les autres et s’ils sont tous d’accord il pourra poser le galet, sinon le jeu continue.
« Marseille » et eau c’est assez facile mais par exemple si le petit Pélébémé dit « ardoise à Histoires ! après avoir proposé « selle de cheval » il aura peut-être plus de mal à convaincre les autres que le cheval permet à l’homme de se promener sur la terre et donc qu’il peut poser le galet vert (terre).
A lui de faire preuve d’imagination et de garder l’attention de son auditoire en racontant une belle histoire, deux choses indispensables à tout bon conteur !

Lorsque personne ne trouve de mot pour suivre et que le jeu est coincé on peut choisir un autre mot au hasard.
Celui qui pose le dernier galet doit raconter une histoire aux autres. Si les autres aiment son histoire il gagne la partie, Une autre manche peut reprendre jusqu’à que les petits Pélébémés tombent de sommeil ou que les grands en aient assez pour ce jour-là.
Et c’est ainsi que tous les petits Pélébémés apprennent dès leur plus jeune âge à bien raconter les histoires.

Aucun commentaire: